L'eau alcaline, dont le pH est plus élevé que celui de l'eau du robinet, est devenue populaire grâce à ses nombreux bienfaits pour la santé. Chez Alkanatur, nous sommes fiers de rester à la pointe des avancées scientifiques et médicales afin de transmettre les dernières informations à nos clients. L'un de nos centres d'intérêt est l'impact de l'alcalinité sur la glycémie, un facteur crucial dans la gestion du diabète.
Comment cela aide :
- Acidité réduite : L’eau alcaline contribue à neutraliser l’excès d’acidité dans l’organisme, l’aidant ainsi à moins travailler pour maintenir l’homéostasie. Une alimentation acide peut perturber la capacité de l’organisme à maintenir le rythme, ce qui peut contribuer à une résistance progressive à l’insuline. La résistance à l’insuline est un facteur clé du développement du diabète de type 2.
- Amélioration de la sensibilité à l'insuline : Des études ont montré que la consommation d'eau alcaline améliore la sensibilité à l'insuline, permettant ainsi à l'organisme de l'utiliser plus efficacement pour réguler la glycémie. Un corps qui fonctionne correctement contribue à votre santé.
Preuves scientifiques :
Une étude de 2017 (citation ci-dessous) a conclu que « les résultats ont montré que la consommation d'eau alcaline (PH 9,5) pendant 14 jours était efficace pour diminuer la glycémie aléatoire dans le diabète sucré de type 2 ».
Bien que des études préliminaires aient montré des résultats prometteurs, les preuves scientifiques concernant l'impact de l'eau alcaline sur la glycémie évoluent. L'étude ci-dessus a révélé que des valeurs de pH plus faibles étaient inefficaces, indiquant un certain seuil d'efficacité alcalin. Des recherches plus approfondies sont nécessaires pour confirmer ces bénéfices.
Considérations importantes :
- Variabilité individuelle : Les effets de l’eau alcaline peuvent varier d’une personne à l’autre.
- Ne remplace pas un avis médical : l’eau alcaline ne doit pas être considérée comme un substitut aux médicaments prescrits ou à une alimentation équilibrée pour les personnes diabétiques.
Étude citée :